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Les conséquences des changements de saison sur notre santé

Que ce soit dû à la baisse des températures ou à leur augmentation, à l’allongement des journées ou à leur raccourcissement, les changements de saison ont un impact sur notre santé. Au-delà du moral, le corps aussi est affecté.

Le corps est fatigué

A chaque changement de saison, le corps doit s’habituer à un changement de rythme, notamment par rapport à la luminosité. Notre horloge biologique interne s’équilibre sur les conditions d’ensoleillement et d’alternance jour/nuit. Passer de l’hiver au printemps, ou de l’automne à l’hiver, impose donc à notre corps de se réadapter, ce qui peut créer un décalage interne et entraîner une baisse de vitalité.

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Le corps s’alimente différemment

Qui dit changement de saison dit changement de nourriture. Ce n’est pas pour rien qu’il existe des fruits et légumes de saison ! Notre corps doit donc, à chaque saison, s’adapter à une nouvelle alimentation. Au printemps ou en été, on aura tendance à manger davantage de fruits et légumes à jus, surtout s’ils sont peu caloriques. A l’automne ou en hiver, on se tournera plus vers les fruits et légumes riches en vitamines et en glucides.

Le sommeil est perturbé

Le changement de luminosité dérègle notre horloge biologique interne et donc, par voie de conséquence, notre qualité de sommeil. Pour vivre le mieux possible ce changement de rythme et conserver un sommeil réparateur, le Docteur Raphaël Gruman conseille de se recaler en se couchant plus tôt et à des heures fixes. Le but est de réguler la sécrétion de mélatonine, hormone du sommeil que notre corps produit naturellement, afin de passer de meilleures nuits.

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Les cheveux tombent

La chute de cheveux observée à chaque changement de saison est une chute de cheveux réactionnelle, ponctuelle, passagère et sans gravité. Elle s’explique par les variations de lumière et de température qui agissent sur notre métabolisme et dérèglent certaines de nos hormones, dont celles qui régissent la croissance des cheveux. Attention cependant : Une chute de cheveux saisonnière ne doit pas durer plus de 3 mois. Au-delà, il convient de consulter l’avis d’un spécialiste, tel qu’un dermatologue dans un premier temps.

Sources : madame.lefigaro.fr – passeportsante.net – santemagazine.fr – doctissimo.fr